Chronologie de FACIL

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Cet article présente une chronologie de FACIL. Il comprend une période pré-FACIL qui porte sur Linux-Québec, qui est en quelque sorte l'«ancêtre» de FACIL.

1997

1998

  • Le 26 septembre, premier festival d'installation de Linux-Québec à l'École Polytechnique de Montréal[2].

1999

2000

2001

2002

2003

  • Le 25 octobre, tenue du premier congrès sur les logiciels libre organisé par l'AQP3L à l'École des technologies supérieures[4].

2004

2005

2006

  • Le 11 mars, FACIL lance (en partenariat avec Linux-Québec) les Ateliers du libre, des rencontres régulières d'entraide pour les utilisateurs de logiciels libres[13].
  • Le 23 mai, ouverture de la seconde Conférence sur les logiciels libres et les administrations publiques (CLLAP 2006) à l’Université Laval de Québec. FACIL est un des partenaires de l'événement, qui se poursuit jusqu'au 24 mai[14].
  • Le 11 novembre, début de la troisième Semaine québécoise de l'informatique libre (SQIL 2006), qui se poursuit jusqu'au 19 septembre[15].

2007

  • Le 14 avril, assemblée générale annuelle de FACIL au Pavillon Thérèse Casgrain de l'UQÀM[16].
  • Le 2 août, FACIL se dote d'une usine à CD[17].
  • Le 15 septembre, début de la quatrième Semaine québécoise de l'informatique libre (SQIL 2007), qui se poursuit jusqu'au 23 septembre[18].

2008

  • Le 19 janvier, 1er atelier populaire du libre[19].
  • Le 13 avril, assemblée générale annuelle de FACIL dans les locaux de Savoir-Faire Linux[20].
  • Le 15 juillet, FACIL dépose en Cour supérieure du Québec une requête en jugement déclaratoire contre le Centre des services partagés du Québec, Microsoft, Compugen et le Procureur général du Québec[21].
  • Le 28 août, FACIL annonce par communiqué qu'elle a déposé une requête en Cour supérieure du Québec[22].
  • Le 20 septembre, début de la cinquième Semaine québécoise de l'informatique libre (SQIL 2008), qui se poursuit jusqu'au 28 septembre[23].
  • Le 6 novembre, au lendemain du déclenchement de la campagne électorale québécoise, FACIL publie une brochure sur le logiciel libre destiné aux futurs membres de l'Assemblée nationale. La brochure a pour titre Le logiciel libre. Une cause nationale. Une opportunité pour le Québec[24].
  • Le 12 novembre, FACIL lance un appel à tous les candidats à l'élection générale québécoise du 8 décembre pour qu'ils signent le Pacte du logiciel libre[25].
  • Le x décembre, fondation de l'Association professionnelle des entreprises en logiciels libres (APELL)[26].

2009

  • Le 30 mai, FACIL annonce par communiqué qu'elle a décidé de suspendre les actions en Cour supérieure[27].
  • Le 16 juin, FACIL annonce par communiqué qu'elle demande à Yves Bolduc, ministre de la Santé et des Services Sociaux, de suspendre immédiatement l'attribution sans appel d'offres d'un contrat d'une valeur de 5 471 431,62$ pour l'achat de diverses licences de logiciels[28].
  • Le 30 juillet, FACIL participe à la consultation publique organisée à Montréal par le gouvernement du Canada au sujet du projet de réforme de la Loi sur le droit d'auteur[29].
  • Le 13 octobre, dans le cadre élections municipales québécoises, FACIL lance sa campagne de mobilisation et invite tous les candidat(e)s à signer le Pacte du logiciel libre[30].

2010

  • Le 26 janvier, diverses associations dont plusieurs sont québécoises (l'Union des consommateurs, FACIL, la Ligue des droits et libertés, Koumbit, etc.) dénoncent les négociations secrètes sur le droit d'auteur (Anti-Conterfeiting Trade Agreement)[31].
  • Le 14 mars, FACIL fait savoir par communiqué qu'à quelques jours du début du procès de Savoir-Faire Linux contre la Régie des rentes du Québec (RRQ), une firme d'avocats mandatée par le gouvernement du Québec et le Centre des services partagés du Québec (CSPQ) lui a exigé le remboursement de 106 000 $ de frais de justice pour la poursuite intenté par FACIL en 2008[32].
  • Le 8 mai, assemblée générale annuelle de FACIL, à l'Université du Québec à Montréal[33].

2011

  • Le x avril, dans les cadres des élections fédérales canadiennes, FACIL lance la troisième édition de sa campagne pour la signature du Pacte du logiciel libre par les candidat(e)s[34].
  • Le 5 avril, FACIL dépose un mémoire dans le cadre des consultations particulières et auditions publiques sur le projet de loi No 133, Loi sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement[35].
  • Le 28 mai, Assemblée générale annuelle de FACIL au Centre de loisirs communautaires Lajeunesse[36].
  • Le 1er juillet, entrée en vigueur de la Loi sur la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement[37].

2012

  • Le 16 juin, assemblée générale annuelle de FACIL au Centre de Recherche Informatique de Montréal (CRIM)[38].
  • Le 23 août, quatrième édition de la campagne pour la signature du Pacte du logiciel libre, dans le cadre des élections québécoises[39][40].

2013

  • Le 4 février, FACIL lance une consultation auprès de ses membres et ami(e)s sur l'informatique libre dans l'éducation primaire et secondaire au Québec[41].
  • Le 22 février, FACIL dépose un mémoire dans le cadre du Sommet sur l'enseignement supérieur organisé par le MESRST le 25 et 26 février 2013. Le document de 12 pages s'intitule L'informatique libre dans l'enseignement supérieur et la recherche[42].
  • Le 30 mars, à l'issue de la consultation initiée le 4 février, FACIL publie un document de recommandations destiné au Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS)[43].
  • Le 11 avril, FACIL appuie le mémoire déposé par Québec Ouvert à l'occasion de la consultation générale et des auditions publiques sur le rapport quinquennal de la Commission d'accès à l'information (CAI)[44].
  • Le 8 juin, assemblée générale annuelle de FACIL au Centre de Recherche Informatique de Montréal (CRIM)[45].

Notes