« Bilan des actions du gouvernement du Québec en matière d'informatique libre » : différence entre les versions

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=== Campagne de 2012, arrivée au pouvoir ===
=== Campagne de 2012, arrivée au pouvoir ===
Engagement très faible, poursuite de la «politique» du gouvernement précédent
La plateforme électorale du Parti québécois, dévoilée au début du mois d'août 2012, faisait référence aux logiciels libres en ces termes :


* Le programme dit : «Un gouvernement souverainiste : [...] «f) Ouvrira les appels d’offres informatiques aux logiciels libres et mettra en place dès son arrivée un groupe conseil, libre d’intérêts particuliers, pour le guider sur le virage à prendre. Cette simple mesure pourrait faire économiser des dizaines de millions au gouvernement, en plus d’offrir plus de flexibilité. Le mot d’ordre : « modernité ». »[http://pq.org/programme/#c-7].
« 37- Encadrer le recours aux sous-traitants pour la réalisation des projets informatiques du gouvernement. Élargir les appels d’offres informatiques aux logiciels libres et réviser les projets informatiques afin de réaliser d’importantes économies. »<ref>[http://facil.qc.ca/fr/node/962]</ref><ref>[http://mon.pq.org/documents/monpq_516f6a49d4ec3.pdf]</ref>. Cela constituait déjà un léger recul par rapport à l'engagement très modeste contenu dans le programme du parti depuis 2011 :


* La plateforme électorale dit : « 37- Encadrer le recours aux sous-traitants pour la réalisation des projets informatiques du gouvernement. Élargir les appels d’offres informatiques aux logiciels libres et réviser les projets informatiques afin de réaliser d’importantes économies. »[http://facil.qc.ca/fr/node/962]
«Un gouvernement souverainiste : [...] «f) Ouvrira les appels d’offres informatiques aux logiciels libres et mettra en place dès son arrivée un groupe conseil, libre d’intérêts particuliers, pour le guider sur le virage à prendre. Cette simple mesure pourrait faire économiser des dizaines de millions au gouvernement, en plus d’offrir plus de flexibilité. Le mot d’ordre : « modernité ». »<ref>[http://pq.org/programme/#c-7]</ref>.
* Aucune signature du PLL de la part des candidats PQ.


* Malavoy => ministre de l'Éducation (septembre 2012)
Le fait à noter relativement au déroulement de la campagne est qu'il n'y a eu aucune signature du Pacte du logiciel libre de la part d'un candidat du Parti québécois.
* Sylvain Simard => prés. du CA de la SAQ (avril 2013)
 
Mme Malavoy a été nommée ministre de l'Éducation (septembre 2004) et Sylvain Simard président du CA de la SAQ (avril 2013). Le duo est silencieux sur la question du logiciel libre depuis cette époque et il faut se contenter de Stéphane Bédard, qui est ministre responsable de
l’Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor.
 
En résumé, on peut dire que le parti québécois s'est présenté devant les électeurs avec un engagement très faible en faveur de l'informatique libre et qu'une fois au pouvoir il n'a pas certainement pas respecté cet engagement et s'est contenté de poursuivre de la «politique» insuffisante amorcée par le gouvernement précédent.


=== Plan numérique ===
=== Plan numérique ===
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