« Bilan des actions du gouvernement du Québec en matière d'informatique libre » : différence entre les versions

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Trois jours plus tôt, le 6 août c'est le journal ''Métro'' qui nous apprenait que la Ville de Montréal avait publié un appel d'offres, le 24 juillet, pour l'acquisition de produits Microsoft, écartant d'emblée toute concurrence réelle de la part des fournisseurs de services basées sur le logiciel libre<ref>Mathias Marchal, « [http://journalmetro.com/actualites/montreal/354545/les-logiciels-libres-a-nouveau-ecartes/ Les logiciels libres à nouveau écartés] », dans ''JournalMetro.com'', 6 août 2013.</ref>.
Trois jours plus tôt, le 6 août c'est le journal ''Métro'' qui nous apprenait que la Ville de Montréal avait publié un appel d'offres, le 24 juillet, pour l'acquisition de produits Microsoft, écartant d'emblée toute concurrence réelle de la part des fournisseurs de services basées sur le logiciel libre<ref>Mathias Marchal, « [http://journalmetro.com/actualites/montreal/354545/les-logiciels-libres-a-nouveau-ecartes/ Les logiciels libres à nouveau écartés] », dans ''JournalMetro.com'', 6 août 2013.</ref>.


Le 8 août, ''La Presse'' révélait le cas peut-être le plus intéressant concernant un contrat informatique remporté dans un appel d'offres par la multinationale québécoise CGI, cependant annulé à la suite d'une vérification interne menée à la demande du directeur général de la Sûreté du Québec (SQ), Mario Laprise. Le lieutenant Guy Lapointe, porte-parole du corps de police, a affirmé à ''La Presse'' qu'à la suite de la vérification interne, la Sûreté du Québec avait choisi de transmettre ce dossier à l'Unité permanente anticorruption (UPAC).
Le 8 août 2013, ''La Presse'' révélait le cas peut-être le plus intéressant concernant un contrat informatique remporté dans un appel d'offres par la multinationale québécoise CGI, cependant annulé à la suite d'une vérification interne menée à la demande du directeur général de la Sûreté du Québec (SQ), Mario Laprise. Le lieutenant Guy Lapointe, porte-parole du corps de police, a affirmé à ''La Presse'' qu'à la suite de la vérification interne, la Sûreté du Québec avait choisi de transmettre ce dossier à l'Unité permanente anticorruption (UPAC).


=== Conclusion ===
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