Modification de Sept chantiers du numérique pour le Québec

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'''Concertation continue ?''' Il ne s’agit ''pas'' du projet d’organiser un gros événement. La concertation serait continuelle, sans limite de temps et également sans limite quant au nombre des chantiers. Elle serait ponctuée de moments rassembleurs (globaux ou par chantier) visant l’échange d’information et la prise de décisions en vue d’action menées en commun. La concertation serait celle de différents milieux et nous devrions viser explicitement à impliquer non seulement des organismes publics, mais des acteurs d’autres mouvements sociaux : écologie, justice fiscale, etc.
'''Concertation continue ?''' Il ne s’agit ''pas'' du projet d’organiser un gros événement. La concertation serait continuelle, sans limite de temps et également sans limite quant au nombre des chantiers. Elle serait ponctuée de moments rassembleurs (globaux ou par chantier) visant l’échange d’information et la prise de décisions en vue d’action menées en commun. La concertation serait celle de différents milieux et nous devrions viser explicitement à impliquer non seulement des organismes publics, mais des acteurs d’autres mouvements sociaux : écologie, justice fiscale, etc.


'''Quelles actions ?''' Une rencontre initiale pour chacun des chantiers permettrait de réunir personnes, institutions, OSBL, entreprises, groupes informels, etc., en vue de dresser un état des lieux de nos ressources partagées (logiciels, données, services en ligne, documents, etc.) et de celles qui ne le sont pas mais devraient probablement l’être. On peut penser à la récente publication par la Ville de Montréal de son inventaire de données<ref>http://donnees.ville.montreal.qc.ca/portail/publication-de-linventaire-de-donnees-et-priorisation/</ref>. Dans notre cas, nous viserions un inventaire des ressources partagées (ou qui devraient l’être), donc des données, mais aussi des logiciels, des documents, des services en ligne, des projets, etc. Les constats qui seraient alors faits (notamment par le biais de comparaisons avec l’international) fourniraient un point de départ utile pour lancer ou appuyer de grandes actions concertées visant à développer, à protéger et à valoriser nos communs numériques. On peut penser aussi à des actions de type «Opérations libres»<ref>http://www.operation-libre.org/</ref>.
Quelles actions ? Une rencontre initiale pour chacun des chantiers permettrait de réunir personnes, institutions, OSBL, entreprises, groupes informels, etc., en vue de dresser un état des lieux de nos ressources partagées (logiciels, données, services en ligne, documents, etc.) et de celles qui ne le sont pas mais devraient probablement l’être. On peut penser à la récente publication par la Ville de Montréal de son inventaire de données<ref>http://donnees.ville.montreal.qc.ca/portail/publication-de-linventaire-de-donnees-et-priorisation/</ref>. Dans notre cas, nous viserions un inventaire des ressources partagées (ou qui devraient l’être), donc des données, mais aussi des logiciels, des documents, des services en ligne, des projets, etc. Les constats qui seraient alors faits (notamment par le biais de comparaisons avec l’international) fourniraient un point de départ utile pour lancer ou appuyer de grandes actions concertées visant à développer, à protéger et à valoriser nos communs numériques. On peut penser aussi à des actions de type «Opérations libres»<ref>http://www.operation-libre.org/</ref>.


''Exemple concret d’une action de type « projet fédérateur » : Dans le cadre des travaux initiaux du chantier de l’éducation, on constate qu’au Québec nos universités et autres institutions de savoirs publient régulièrement les enregistrements de conférences, de colloques, de tables rondes, de cours inauguraux, etc., mais que, contrairement à la France et à d’autres États, ils ne sont aucunement mis en valeur pour le bénéfice du public en général. Au lieu d’être cataloguées et promues via un portail commun (https://www.canal-u.tv, un site lancé il y a + de 15 ans…), ces ressources sont éparpillées sur différentes plateformes, rarement libres, ce qui n’offre aucune possibilité d’exploration systématique. Aussi, les conditions d’accès et de réutilisation de ces ressources éducatives ne sont pas toujours claires et bien indiquées. Une action commune se dessinerait alors : donner naissance à un Canal-U québécois qui serait fédéré au Canal-U français et à d’autres portails du même type. Nous parlons ici d’un projet relativement peu dispendieux, simple à exécuter techniquement, mais qui nécessiterait une grande concertation de la part d’institutions québécoises habituées à travailler en silo, voire à se concurrencer… Un beau défi à relever… de concert et en commun !''
''Exemple concret d’une action de type « projet fédérateur » : Dans le cadre des travaux initiaux du chantier de l’éducation, on constate qu’au Québec nos universités et autres institutions de savoirs publient régulièrement les enregistrements de conférences, de colloques, de tables rondes, de cours inauguraux, etc., mais que, contrairement à la France et à d’autres États, ils ne sont aucunement mis en valeur pour le bénéfice du public en général. Au lieu d’être cataloguées et promues via un portail commun (https://www.canal-u.tv, un site lancé il y a + de 15 ans…), ces ressources sont éparpillées sur différentes plateformes, rarement libres, ce qui n’offre aucune possibilité d’exploration systématique. Aussi, les conditions d’accès et de réutilisation de ces ressources éducatives ne sont pas toujours claires et bien indiquées. Une action commune se dessinerait alors : donner naissance à un Canal-U québécois qui serait fédéré au Canal-U français et à d’autres portails du même type. Nous parlons ici d’un projet relativement peu dispendieux, simple à exécuter techniquement, mais qui nécessiterait une grande concertation de la part d’institutions québécoises habituées à travailler en silo, voire à se concurrencer… Un beau défi à relever… de concert et en commun !''
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