« Foire aux questions de FACIL » : différence entre les versions

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Nous souhaitons donc libérer l'individu, qui doit ultimement être le maître de son informatique. Une fois libérés, les individus peuvent faire ce qui est naturel et avantageux qu'ils fassent : s'associer librement dans un effort collectif. La société même est le meilleur exemple du pouvoir de l'association, qui a toujours pour objet la mise en commun, c'est-à-dire le partage, de ressources. Puisque l'être humain vit en société, il faut libérer non seulement les individus, mais également les institutions de sa société. Pour ne pas que les actuels propriétaires de l'informatique déterminent seuls la forme que prendra la société numérique de demain, il faut que les citoyens s'unissent pour en faire l'appropriation collective.
Nous souhaitons donc libérer l'individu, qui doit ultimement être le maître de son informatique. Une fois libérés, les individus peuvent faire ce qui est naturel et avantageux qu'ils fassent : s'associer librement dans un effort collectif. La société même est le meilleur exemple du pouvoir de l'association, qui a toujours pour objet la mise en commun, c'est-à-dire le partage, de ressources. Puisque l'être humain vit en société, il faut libérer non seulement les individus, mais également les institutions de sa société. Pour ne pas que les actuels propriétaires de l'informatique déterminent seuls la forme que prendra la société numérique de demain, il faut que les citoyens s'unissent pour en faire l'appropriation collective.
'''Qu'est-ce que le logiciel libre ?''' Selon la définition mise de l'avant par la Free Software Foundation<ref>Free Software Foundation (FSF), «[http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html Qu'est-ce que le logiciel libre ?]», ''gnu.org'', 1996-2002, 2004-2007, 2009, 2010, 2012, 2013.</ref>, un logiciel libre se reconnaît à quatre critères, soit la liberté pour ses utilisateurs 1) de l'exécuter pour tous les usages, 2) d'étudier son fonctionnement en vue de l'adapter à des besoins nouveaux, 3) d'en redistribuer des copies en vue d'aider son prochain, 4) de distribuer des copies des versions qu'on a pu modifier. Ces quatre ''libertés fondamentales'' des utilisateurs sont ce que protègent les logiciels publiés sous une licence libre. Ce sont ces quatre libertés dont nous privent en partie ou en totalité les propriétaires des logiciels qui ne sont pas libres et qui par conséquent doivent être nommés logiciels ''privateurs de liberté''. Pour en savoir plus, consultez la [http://www.gnu.org/philosophy/philosophy.html section «Philosophie»] du site ''gnu.org'' de la FSF.
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[[Catégorie:Comité FACIL Médias]]
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Qu'est-ce que l'informatique libre ? L'informatique libre est une alternative citoyenne à l'informatique liberticide promue par les principaux joueurs de l'industrie du numérique. L'informatique libre englobe le logiciel libre, le matériel libre, la culture libre, les standards ouverts, l'ouverture des données publiques, la protection des renseignements personnels en ligne, la neutralité du réseau, l'égalité sociale dans la société numérique, etc. Pour plus d'information, continuez à lire cette FAQ ou consultez le glossaire de FACIL.

Pourquoi faut-il en faire «l'appropriation collective» comme le suggère le nom de votre association ? FACIL prône l'appropriation individuelle autant que collective de l'informatique libre, mais puisque tout ne pouvait pas entrer dans le nom de notre association, nous avons retenu l'idée de l'appropriation collective, qui est très parlante.

Nous souhaitons donc libérer l'individu, qui doit ultimement être le maître de son informatique. Une fois libérés, les individus peuvent faire ce qui est naturel et avantageux qu'ils fassent : s'associer librement dans un effort collectif. La société même est le meilleur exemple du pouvoir de l'association, qui a toujours pour objet la mise en commun, c'est-à-dire le partage, de ressources. Puisque l'être humain vit en société, il faut libérer non seulement les individus, mais également les institutions de sa société. Pour ne pas que les actuels propriétaires de l'informatique déterminent seuls la forme que prendra la société numérique de demain, il faut que les citoyens s'unissent pour en faire l'appropriation collective.

Qu'est-ce que le logiciel libre ? Selon la définition mise de l'avant par la Free Software Foundation[1], un logiciel libre se reconnaît à quatre critères, soit la liberté pour ses utilisateurs 1) de l'exécuter pour tous les usages, 2) d'étudier son fonctionnement en vue de l'adapter à des besoins nouveaux, 3) d'en redistribuer des copies en vue d'aider son prochain, 4) de distribuer des copies des versions qu'on a pu modifier. Ces quatre libertés fondamentales des utilisateurs sont ce que protègent les logiciels publiés sous une licence libre. Ce sont ces quatre libertés dont nous privent en partie ou en totalité les propriétaires des logiciels qui ne sont pas libres et qui par conséquent doivent être nommés logiciels privateurs de liberté. Pour en savoir plus, consultez la section «Philosophie» du site gnu.org de la FSF.

Notes

  1. Free Software Foundation (FSF), «Qu'est-ce que le logiciel libre ?», gnu.org, 1996-2002, 2004-2007, 2009, 2010, 2012, 2013.